Final del patriarcado

Es no acoger el modelo que nos degrada de lucha de sexos.
es seguir en el largo camino emprendido por mujeres y hombres
para vivir con respeto y dignidad.
nunca manipulación, violencia, odio enfermizo, cuando el amor se acaba.
es custodia compartida
ser independient@s económicamente.
casarse no ha de significar quedarse en casa cuidando a los niñ@s, más allá del tiempo necesario y pactado entre pamamapa.

viernes, 10 de julio de 2015

Grecia, España, Portugal, Italia, toda la ciudadania castigada por los chupa dineros de la gente trabajadora y honesta en contra de este modelo europeo sanguijuela.

Tod@s queremos salir de esta europa que solo defiende a las sanguijuelas de la banca, FMI, OMC TTIP, gracias a un@s "polític@s" que hemos elegido con nuestro voto y que se supone van a defender los intereses de la ciudadania europea.

YO QUIERO SALIR DEL EURO QUE ME ROBA DESDE EL PRIMER DIA DE SU IMPLANTACIÓN, Y DEL PROYECTO MENTIROSO DE UNA EUROPA PARA L@S EUROPE@S!

EN ESTE PAÍS TOD@S IDIOTAS?
http://fr.globalvoicesonline.org/2015/07/13/188038/
http://www.telecinco.es/_781a2850

Une législature caractérisée par le manque de communication entre le gouvernement et les citoyens est sur le point de s'achever en Espagne. L'habitude du président de remplacer les habituelles conférences de presse par des allocutions réalisées depuis un écran plasma et sans séance de questions/réponses ont valu à Mariano Rajoy d'innombrables critiques de la part de l'ensemble des secteurs de la société, en particulier dans la presse. Peut-être est-ce l'imminence des élections qui explique que le président du gouvernement espagnol ait accordé, contrairement à son habitude, un entretien télévisé lundi 6 juillet.
Cet entretien, qui s'est focalisé sur le référendum en Grèce et les négociations de ce pays avec l’Eurogroupe, n'a pas laissé le moindre doute quant à la faible capacité du président à improviser ses réponses. A la question «Croyez-vous que la Grèce paiera à un moment donné?», Rajoy a répondu:
[La Grèce] doit beaucoup d'argent, elle doit un peu plus de 90% de son PIB, c'est comme si en Espagne nous devions, eh bien 900 milliards d'euros, ce qui est une somme astronomique (…)
On peut se demander d'où le président tire ces chiffres, étant donné que la dette grecque s'élève à plus de 175% de son produit intérieur brut (PIB). La comparaison «comme si en Espagne nous devions 900 milliards d'euros» n'est pas non plus très heureuse : s'il dit vrai lorsqu'il affirme qu'il s'agit d'une somme astronomique, le fait est que l'Espagne doit sensiblement plus, 1046 milliards d'euros, ce qui représente 98% de notre PIB.
Rajoy, qui en cette année électorale en est venu à affirmer que «la crise appartient déjà à l'histoire» en Espagne, semble être le seul capable de détecter cet hypothétique renversement de tendance de l'économie. La dette, qui se situait à 66% du PIB espagnol quand le Parti populaire est arrivé au pouvoir en 2011, a augmenté à un rythme effréné, ce à quoi le sauvetage des banques a indubitablement contribué. On estime déjà que, sur ces aides publiques aux banques, d'un montant supérieur à 100 milliards d'euros, 43 milliards d'euros sont définitivement perdus.
De plus, alors que les dirigeants des banques sauvées conservent tous leurs privilèges, sans que le gouvernement ne les oblige à appliquer des mesures restrictives, les augmentations d'impôts et les politiques d'austérité de Rajoy font qu'un nombre grandissant d'Espagnols sont menacés d'exclusion d'année en année, les inégalités et la précarité de l'emplois'accentuent et mettent à mal les services publiques fondamentaux.
Les internautes ont préféré prendre avec humour la bourde du président, et de nombreux commentaires acerbes ont surgi sur Twitter:

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